mercredi 21 décembre 2016

Barberousse le pirate





La série Clio et Rami est à son sixieme tome (disponible à la fnac).
En fait, je suis ici, dans le second opus de 4 histoires.
La première série de 4 histoires est regroupée dans Enquêtes Antique (lien fnac). Ce sont les histoires les plus anciennes dans le temps. Et elles ciblent des lecteurs plus jeunes.

Cette série de 4, commencé avec « Guillaume le conquérant » (et dont Barberousse est le second récit), regroupe la période avant la Révolution française. Je ne comptais pas du tout parler de bateaux, et encore moins de Pirates.
Mais en cherchant sur quel mort Clio devait enquêter, je n'ai pas pu m'empêcher d'envisager un pirate, malgré moi. Barberousse ou un autre. Mais il m'est apparu comme une nécessité d'avoir une histoire de pirate dans un récit jeunesse.

 Parce que, enfant, j'ai été marqué (terrorisé même) par Long John Silver et l'île Mystérieuse. Plus tard, le scarabée d'or (même s'il n'est pas de l'époque des pirates) de Poe m'a marqué sans doute par l'intelligence de son enquêteur, mais sans doute aussi parce qu'il y a des têtes de morts, et un insecte qui sort de leurs orbites.
Ce sont des images qui ont marqué ma jeunesse et qui m'ont poussée presque malgré moi à écrire ce petit récit sur les pirates.

Maintenant que j'en parle, je m'aperçois que mon enquête propose peu d'image aussi dérangeante, ou de situation aussi effrayante que dans ces 2 récits de ma jeunesse. (Pourtant, il y a une interaction entre Clio et des pendus qui s'en approche un peu.)

J'avais prévu, il y a longtemps, mes 4 récits de la période moyenâgeuse. Ça devait être des histoires de chevaliers, de sièges, de croisade peut-être. Les pirates sont arrivés d'eux même. Comme en abordage. En cela, il y a une sorte de concordance. Après tout, comme il se doit, les pirates ne respectent aucune règle (malgré ce que je prétends dans cette enquête)