La Joconde n'a ni cils, ni sourcils. On a prétendu que
c'était la mode féminine de l'époque. On n'en est plus tout à fait sûr. Peut
être les sourcils et les cils ont été enlevé plus tard par un disciple de DaVinci.
Peut être il n'y en a jamais eu. Peut être c'était la mode de n'en pas porter ;
ou peut être pas.
Cet absence donne un aspect étrange au tableau, et participe
à la fascination qu'il provoque. On n'est pas tout à fait sûr de voir un visage
humain.
Mais ce qui participe le plus à la fascination de la Joconde
c'est son sourire : On ne le reconnait que par vision périphérique. Dés
qu'on le fixe il disparait.
On attribue cet effet au travail d'ombre fait par DaVinci. On
sait aussi que la forme de la bouche porte des traces étranges. Les cicatrices
de marque de dents sur la lèvre inférieure.
Le modèle, sans doute, et c'était fréquent à l'époque, avait
perdu des dents de devant à cause d'une hygiène dentaire déplorable, nous dit
Wikipedia.
Ou bien, tout aussi légitimement. Le modèle avait des
canines de 3cm de long, si longue qu'elles sortaient de la bouche.
C'est en effaçant ces canines démesurées, comme ont été peut
être effacé les cils et les sourcils, que le sourire devient énigmatique :
Quelque chose devrait être là.
Tout sur le contour de la bouche indique la présence de ces
canines allongées, on en distingue l'ombre. On ne les voit pas.
Ce que DaVinci a peint c'est un vampire. Peut être le
premier vampire de l'art pictural occidental. Il ne me revient pas de
déterminer si c'était un véritable vampire, ou un modèle ayant véritablement
des canines trop longue pour de vagues raison médicale. Ce qui est sûr c'est
que DaVinci ne voulait pas que l'on voit ce tableau. Il le conserve 15 ans sur
lui.
Il le retravaille en permanence. Pourtant bizarrement il
laisse des erreurs flagrantes : La main gauche dont tout les doigts font
la même taille ; Erreur étrange du maître de l'anatomie. Cette main
ressemble à une griffe.
Il laisse une ligne d'horizon plus haute à gauche de la tête
qu'à droite. Lui si versé dans l'art de la perspective.
Il place un pont à droite, symbole du temps et de
l'éternité. Il place un chemin sinueux à gauche, symbole du danger et de la
mort.
Il ne vend jamais ce tableau plein de symboles lié au
bizarre, à l'anormal et au vampirisme.
Avançons jusqu'à l'âge moderne. Des qu'il redevient célèbre
ce tableau est nommé "Joconde" du nom du modèle présumée "Lisa Del
Giocondo". Aucune preuve, à ce jour ne permet authentifié définitivement cette
Giocondo comme modèle. On a au moins trois autres candidats. Pourtant on
s'empresse de donner ce nom au tableau : "La Joconde"
Il a déjà un nom ce tableau, et un fort joli :"Mona
Lisa". Pourquoi veut-on absolument le changer pour donner un nom d'un
personnage qui n'a peut être rien à voir ? Pourquoi tant d'effort pour
donner un nom erroné ?
Parce que tout le monde connait désormais la passion de
DaVinci pour les miroirs, les codes, et l'écriture de la main gauche. DaVinci
écrivait ce qu'il voulait garder secret à l'envers. A l'époque le stratagème
était novateur.
Il garde un tableau, pendant 15 ans, jusqu'à sa mort, en
permanence avec lui. Ce tableau il l'a appelé "Mona LISA". Ce qui
veut dire, si on lit à l'envers : "Mon ASIL".
A l'Asile, DaVinci était sûr d'y aller si quelqu'un
apprenait qu'il avait représenté sur son tableau un vampire buveur de sang.