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mercredi 16 septembre 2015

Les téléphones portables n'ont jamais eu de succès




Il convient d'abord d'écarter certains mythes liés aux téléphones portables. Mais en écartant ces mythes nous nous rappellerons que c'est nous, nous-mêmes qui les avons développés pour nous même. C'est une illusion que nous maintenons contre toutes les évidences. Nous voulons croire que nous utilisons un téléphone. Ce n'a jamais été le cas.

  • Mythe 1 : Les téléphones portables servent à parler
Au début, c'est ainsi que les portables ont été présentés: la possibilité de parler à nos proches/collègues à tout moment, en quelque lieu que nous soyons. Si professionnellement ça peut vaguement se justifier pour certaines activités très précises (vendeurs-représentants), personne n'a jamais utilisé son téléphone en ce sens. Bien sûr on appelle un ami, de la famille, quand on marche sur le trottoir, dans le train, ou pour les plus irresponsables depuis nos voitures. Mais le propos n'est jamais d'avoir une conversation: il s'agit de préciser une heure d'arrivée, une question pratique, un retard éventuel, une annonce de ponctualité, une confirmation. Ce n'est pas de la communication, avec un échange d'idée et d'opinions, c'est un échange factuel destiné à clarifier.

  • Mythe 2 : Les téléphones permettent d'être joignable
L'argument central en faveur du prétendu téléphone est la possibilité d'être accessible à tout moment ou que nous soyons. Si nous écoutons les zélateurs de cet usage, notre vie est en danger si nous n'avons pas de moyens d'être contactés. Certains vieillards sur des bancs vermoulus, ou des animateurs de journaux télévisés racontent qu'Untel était perdu dans les bois quand il a pu laisser un message. Plus souvent, Untel avait crevé sur la nationale, mais grâce à son téléphone il a appelé un dépanneur. Encore plus régulièrement, au point que c'est devenu une blague, un cliché, un point d'ancrage des mauvais comiques : le téléphone permet de savoir s'il faut ramener du pain de la boulangerie. Cette blague persiste depuis si longtemps parce qu'elle illustre parfaitement l'absence totale d'utilité de téléphone. Le seul moyen de l'utiliser dans sa fonction salvatrice d'être joignable tout le temps, et de l'utiliser au moment trivial de faire les commissions. Rien d'un outil pour sauver des vies, tout juste un sauvetage du repas du soir.

Ces deux mythes sont révélés comme tels, par l'usage réel des téléphones. Les portables ont commencé à devenir omniprésents début 2000 quand les textos ont fait leurs apparitions. À partir de là, ce « téléphone » est devenu notre outil préféré. Parce qu'il permet, non pas ,de téléphoner (c'est tout au plus une fonction accessoire agréable, comme la photo, ou le lecteur de musique), mais surtout de communiquer par texte.

Parce que l'outil que nous voulons avec nous à tout instant est un simple ordinateur. Sa fonction n'a jamais été de communiquer. Sa fonction est de nous distraire. Sa fonction est au contraire de couper, d'empêcher, d'interdire même, toute communication avec notre entourage.
Parce que nous sommes assaillis de stimulus sociaux, parce qu'il y a du monde partout dans les rues, les métros, aux cafés, sur les bancs. Trop de personne, dont nous souhaitons à tout prix nous soustraire : on sort son ordinateur de poche. Tranquille.

Il y a une raison pour laquelle les autres formes d'ordinateur de poches ne marcheront jamais (je le dis ici pour dans 50 ans). Les lunettes de google, les montres d'apple, les colliers, bagues, ou même les vêtements avec connexions WiFi qu'un futur inventeur se hâtera de créer en espérant répliquer le succès de l'ordinateur de poche qui a pris le nom de « téléphone » ; tous ces accessoires ne marcheront jamais. Il a fallu la connexion d'un ordinateur avec l'illusion de prétendre qu'il s'agit d'un téléphone pour que nous utilisions des ordinateurs de poches.

Parce que :

  • Mythe3 : Nous souhaitons être connectés
L'ordinateur de poche nous convient parce qu'il évite le rapprochement, la proximité avec l'entourage direct. Le téléphone permet de nous extraire de la société. Pour cela qu'il devient de plus en plus grand : pour cacher à nos yeux le reste du monde. Pour cela qu'il contient des jeux ennuyeux et répétitifs, parce qu'il ne s'agit pas de s'amuser, mais de passer le temps hors de chez soi en gardant l'illusion de rester chez soi. Pour cela qu'il doit être connecté : parce qu'il faut pouvoir vérifier sur internet l'auteur d'une chanson, le nom d'un acteur, la météo du jour, plutôt que de continuer la discussion à propos de la chanson, du film, ou du temps du jour. Tout pour ne pas interagir. Tout pour nous déconnecter du réel.

C'est pour cela que le seul gadget qui nous permet d'utiliser un ordinateur de poche au quotidien ne peut être qu'un objet mythique qui prétend enrichir nos relations. On l'a appelé « téléphone » parce qu'on ne parle à personne avec . Nous l'utilisons pour tous les moyens par lesquels il nous distance des autres. Pour rester loin. Et nous refusons d'admettre cette réalité, parce qu'elle revient à admettre que nous sommes des goujats.





mercredi 15 juillet 2015

Les defenseurs de PirateBay.org au seizième siècle








Il y a quelques jours, le 10 juillet, se tenait, comme chaque année en Turquie, la fête de Nasreddine. Les aventures de ce farceur sont publiées courant du seizième  siècle. Mais la tradition orale raconte ces exploits depuis au moins le treizième et certaines de ses anecdotes sont déjà présentes un millier d'années plus tôt dans les fables d'Ésope.

Nasreddine est un coquin. Il fut mollah, juge religieux. Il fut battu. Il vola, et prononça des jugements subtils.
À plusieurs centaines de kilomètres de la Turquie, à Brunswick, près d'Hanovre, on raconte les aventures d'un individu semblable. Till Eulenspiegel (littéralement Till Hibou-Miroir) est un farceur. Toujours pauvre, toujours préparant un mauvais coup, volant, se faisant voler, trompant, arnaquant. Ses aventures sont publiées en 1515 à Strasbourg. Mais la tradition orale est antérieure.

Rabelais publie le Pantagruel au début de 1500. Dans un chapitre Panurge (célèbre pour ses moutons) ignore s'il doit se marier ou ne pas le faire. Pantagruel alors lui conseille de consulter Seigny Joan. Seigny Joan, dit-il, est un fou qui vit à Paris. Rien de mieux qu'un fou pour donner de bons conseils. Pour prouver la justesse du jugement de Seigny Joan, Pantagruel raconte une de ses aventures.

Cette aventure est semblable à un vécu par Till Eulenspiegel de l'autre côté du Rhin. C'est aussi la même qu'une de celle de Nasreddine des milliers de kilomètres plus loin :

Nasreddine, où un pauvre (selon le récit) fait mine de se régaler du fumet d'un rôtisseur qui cuit sa viande sur le marché. Excédé de la satisfaction qui se lit sur le visage de Nasreddine, le rôtisseur demande à ce qu'il lui paye le fumet de sa nourriture. Nasreddine, réfléchit un instant. Il sort sa bourse. Puis, il la secoue sous le nez du Rotisseur. Puis il s'en va. Le rôtisseur le retient par la manche réclamant le payement. « Avez-vous bien entendu mes pièces tinter dans ma bourse ?
— Oui.
— Alors vous avez été payé », dit Nasreddine. « Je me suis régalé du fumet d'un poulet, je vous ais payé du son de mon argent."

Voilà l'histoire qui confirme que Seigny Joan a un jugement exemplaire. Ou Till, ou Nasreddine. Cette histoire prétend mettre en avant l'apprêté au gain des commerçants. Elle prétend mettre en valeur les ressources d'ingéniosité que donnent la faim et la misère.

Pourtant ces trois histoires nous sont parvenues par des Nantis. Rabelais, comme les auteurs-compilateurs des histoires de Till Eulenspiegel et de Nasreddine sont des nobles. Ou de riches bourgeois. Ils n'ont jamais connu la faim. Pourtant ils partagent à travers le temps et l'espace un désir de raconter cette anecdote-là.

On peut imaginer qu'un récit semblable existe en Chine, en Amérique du Sud même peut-être. Ce récit n'a pas transgressé les frontières et les époques pour son message égalitaire ou social.

Entre les trois compères, Seigny, Till et Nasreddine, il n'y a pas que le récit du rôtisseur en commun. Il y a aussi leur rôle : chacun d'eux n'a pas de fonction propre, ils sont un coup juge, un coup voleur, un coup saltimbanque, vendeur d'eau, pétrisseur de farine, toujours prêt à tout, toujours sans le sou, toujours prêt à mentir et raconter une histoire.
Ces trois personnages sont des artistes.

Artistes, tout comme ceux qui ont publié leurs aventures.

 Rabelais, écrivain génial, a aimé cette histoire. Parce qu'elle parle du statut d'artiste. Elle explique que ce qui s'adresse aux sens (la fumée de la viande) n'a pas de possesseur.
Il est impossible de vendre ce qui s'adresse à un sens. On imagine sans peine la leçon que Rabelais nous tient. Par extension, on ne peut pas payer quelqu'un pour avoir regardé un tableau, ou écouté une symphonie. Voilà le coeur du message de l'anecdote. Voila pourquoi des artistes, nobles et riches, l'ont publié dés l'invention de l'imprimerie.

Une oeuvre d'art ne mérite pas d'autre payement que le bruit de l'or, ou la vue d'une pièce. Parce qu'une oeuvre d'art parle aux sens, elle n'est pas possédée, personne ne vole un tableau en le regardant.

Cinq siècles plus tard, cette maxime de Pantagruel a donné naissance au site Piratebay.org, qui distribue les oeuvres d'art au mépris des règles de copyright. Parce que Seigny Joan, Nasreddine, et Till Eulenspiegel, trois fous, trois artistes, trois juges, en trois endroits différents ont combattu l'injustice.



mercredi 30 octobre 2013

Les Anciens Astronautes sont un leurre pour dissimuler la vérité










On attribue aux anciens astronautes la construction des Pyramides, des lignes de Nazca, la destruction de l'Atlantide, le déluge, la fabrication des crans de cristal, de Stonehenge et au final la création de la race humaine, et la promesse qu'ils redescendront un jour des étoiles.

Qu'est-ce que cela peut bien cacher ? Pourquoi tant de littérature pour justifier cette idée que les aliens sont déjà venus sur terre, et que leurs traces sont omniprésentes?

Il y a quelque chose de remarquable avec les artéfacts que l'on attribue aux anciens astronautes : il est impossible de les dater.
Il n'y a aucune représentation, ni allusion aux pyramides sur les grandes pyramides. Aucun livre ne parle des pyramides avant le début du 18e. Personne n'évoque Stonehenge avant le 19e. Personne n'a jamais parlé des lignes de Nazca... Etc., etc.
Toutes ces immenses constructions, dont on soupçonne qu'elles n'ont pas été possibles avec les technologies de l'époque, à laquelle elles ont censé être construites, ont un point en commun : On en a pris connaissance que très, très, très récemment.
Au 18e commence la construction des pyramides. Avec une connaissance pointue des mathématiques, des leviers, des poulies, de la poudre à canon et les débuts des machines à vapeur. De la même façon, on construit les pyramides en Amérique du Sud. On bâtit Stonehenge avec des tracteurs. Puis plus récemment on trace des lignes dans le désert de Nazca, on polit des crânes dans du cristal.

S'il y a une chose qu'il est impossible de dater, c'est bien une construction en pierre. Quand on date les pierres au carbone 14, elles sont toutes très anciennes. La difficulté est de trouver une pierre qui a moins de plusieurs milliers d'années (il faut la récupérer au pied d'un volcan en activité). Avec toutes ces pierres multimillénaires, on peut bâtir aujourd'hui des constructions dont on prétend qu'elles remontent au début de l'humanité.

Pour les livres, c'est la même chose. Rien de plus facile que de trouver un très vieux parchemin, un datant de plus de deux millénaires, et d'écrire dessus, aujourd'hui, de vieilles légendes à propos d'êtres étrange descendu du ciel et apportant avec eux le feu, l'agriculture et la médecine. On peut même dessiner des cosmonautes sur de vieux parchemins. C'est facile: on sait à quoi ressemblent un casque de cosmonaute et un vaisseau spatial.

Quant à l'autopsie de la créature de Roswell. Il suffit de pratiquer quelques actes de chirurgies pour transformer un humain en petit gris, de le tuer puis de filmer une autopsie. Les gouvernements ont fait pire.

Parce que derrière la construction des pyramides, de Stonehenge, c'est le gouvernement mondial qui agit et prétend qu'il s'agit de l’œuvre d'alien. Les gouvernements sont habitués à créer des conspirations. Ils l'ont toujours fait pour justifier leur politique. Au moyen-âge, déjà, ils ont prétendu que les sorcières existaient pour dresser des bûchers. Plus récemment, ils ont prétendu que les juifs conspiraient contre la race aryenne. Ils ont prétendu que l'Irak possédait des armes de destructions massives, ils ont montré des preuves. Les états fabriquent des conspirations tout le temps.

C'est leur façon d'exister, de justifier leur présence et leurs prérogatives aux citoyens. Mais leur plus grande mascarade est de faire croire que les aliens nous ont déjà visités. Ils ont construit les pyramides pour nous faire croire à cette conspiration. Les états font tout pour que nous croyions en l'existence de mystérieux anciens astronautes.

mercredi 4 septembre 2013

Le père Noël est en réalité une femme... célèbre

Le plus surprenant concernant le père noël c'est que l'on ne sait absolument rien de lui.

Voila un personnage connu dans le monde entier, pourtant aucun récit à son propos. Rien pour expliquer son existence, la raison pour laquelle il donne des cadeaux aux enfants sages, rien sur son age et sa vie. Bien sûr on sait qu'il partage des points commun avec saint Nicolas, mais personne n'ira prétendre que le père noël a jamais sorti des enfants d'un saloir où ils allaient être découpé pour être mangé. Ca c'est l'histoire de St Nicolas, le père Noël n'est pas tout a fait de la même espece. Et il n'a aucune histoire!

Ce que l'on sait se résume à trois choses:
  • Il possède des rennes
  • Des lutins l'aident pour la fabrication des jouets
  • Il vit au pôle Nord
La s'arrête les informations sur l'individu. On peut penser qu'avec aucun mythe fondateur pour appuyer son existence les parents ont volontairement tout fait pour qu'il ne soit pas du tout crédible. Ne pas lui donner d'aventures est le plus sûr moyen de faire douter les enfants de son existence.

Ca, ou bien on nous cache volontairement l'histoire du père Noël parce qu'il ne correspond pas tout à fait à l'image que l'on s'en fait.
Dans les contes on connait un personnage qui lui aussi à des contacts rapprochés avec les animaux, un personnage qui parlent aux cerfs et aux oiseaux. Un personnage qui, lui aussi, utilise le travail de lutins , et profite de leur immense fortune. Un personnage persécuté dans son enfance et qui a toutes les raisons de vouloir faire plaisir aux enfants du monde entier.
Blanche-neige!

Avec les septs nains qui travaillent à la mine pour en sortir des pierres précieuses, elle a les moyens d'offrir des cadeaux aux enfants du monde entier. Elle parle aux animaux. Et sa marâtre l'a suffisamment fait souffrir pour lui donner la volonté d'aider les enfants sages.

Mais la raison principale pour laquelle Blanche-Neige, une fois délivré du sort de la sorcière, s'est donnée la tâche d'être le père Noël est contenue dans son nom.
Dans le conte, elle n'a aucune raison de s'appeler Blanche-Neige. Elle pourrait se nommer Yasmine ou Isabelle ça ne changerai rien à l'histoire. Elle s'appelle Blanche-Neige pour une seule raison: Elle vit au milieu de la neige, au pôle Nord!


mercredi 10 juillet 2013

Lao Tseu est un hoax pour humilier Confucius





A l'époque dite des "Royaumes Combattants" (Ve av. JC) en Chine on voit apparaître un conflit bien moins mortel: Le Confucianisme contre la Taoïsme. A Lao Tseu on attribut l'écriture du Tao-To-King ouvrage fondateur de la philosophie Tao, que l'on peut, si l'on ne craint pas la simplification, résumer en la philosophie du "Lacher-prise".
Son adversaire du moment c'est Confucius, qui est un peu à la religion, ce que le plan comptable général est au hip-hop et à la Techno. Il insiste sur la pratique des rites, le respect des ainés, et tout ce qui de prêt ou de loin vise à maintenir la société dans le calme. Pour l'époque sanglante, c'est un peu justifié.



Le souci de Lao Tseu, c'est que son histoire connue est bien plus rocambolesque que celle de Confucius, pourtant aussi ancien.
On prétend qu'il fut Archiviste pour un prince, la s'arrête la seule information crédible de sa biographie. Le reste de sa vie contient les éléments suivants:
  • Il est est resté Quatre_vingt dix ans dans le ventre de sa mère
  • Il est né les cheveux déjà blanc
  • Sa mère la conçu en mangeant une prune
  • Confucius, esprit rationnel et peu enclin à l'exagération l'appelle "le dragon"
  • Il possède des lobes d'oreilles immenses
  • Il vécu plus de trois cents ans
  • Il parti vers l'ouest en chevauchant un buffle.
  • Il écrivit le Tao-To-King juste avant de disparaître
Et cela c'est sans prendre en compte les "miracles" que le peuple lui attribut, comme à l'ensemble des premiers maîtres du Taoïsme (marcher sur l'eau, voler dans les airs, etc), et que, vraisemblablement personne de censé, ne croyait déjà à l'époque.



En comparaison, de Confucius on sait qu'il a eu une vie normale. Il a servi plusieurs ministre, a été chassé par certains, et est mort à un âge normal. On ne parle même pas de sa naissance, ou n'intervient aucune prune, ni durée intra-utérine anormal.



Pourquoi tant d'élucubration sur la vie de Lao Tseu en comparaison de son adversaire idéologique du moment?



Le Tao-To-King nous donne la réponse. Le Tao-To-King, n'a pas de ponctuation, pour le chinois, c'est primordiale pour comprendre la signification de certains mots. Du coup, le livre n'a aucun sens. Au XIX eme certain ont pu penser qu'il parlait de Jéhovah. D'autre on cru y lire un message sur la sainte Trinité.
Aujourd'hui encore on compte 5 types de traduction possible rien que pour la première phrase du livre: "Le Tao dont on peut parler n'est pas le Tao véritable"
Les sinologues se battent donc depuis 2 siècles pour savoir qui d'eux à raison. Et chacun a suffisamment d'argument (rien qu'en changeant la place de la ponctuation) pour être crédible. Peu importe.



Ce qui compte c'est que le texte ("Qui détient le grand symbole peut parcourir le monde" ou dans d'autres version "Qui possède le Tao, tous viennent à lui") est un charabia délirant, contenant une promesse de sagesse cachée.
Et pour cause il a été volontairement écrit ainsi. C'est une vaste blague. C'est un livre de parodie de l'enseignement de Confucius, bien trop sérieux et censé.



 C'est pour cela qu'on lui donne un personnage improbable comme auteur : "Lao Tseu" signifie littéralement "le vieil enfant". Pour cela qu'on prétend que Confucius montrait du respect à ce vieux fou, aux grand lobes d'oreille qui chevauche les buffles: Pour signaler l'idiotie de Confucius.

Quand il disparaît à l'ouest, on prétend de Lao Tseu s'est réincarné pour apporter le Tao dans les siècles futur. Il est facile de penser qu'à notre époque il s'est incarné dans un autre adepte de la philosophie, que l'on surnomme aussi parfois "le dragon". Si Lao Tseu, existe aujourd'hui, il s'agit sans aucun doute de Jean Claude Vandamme. Tout comme le philosophe-karatéka brise les noix entres ses fesses, Lao Tseu aussi, faisait des choses avec les prunes.







mercredi 5 juin 2013

La pub de Dove avec le dessinateur à l'aveugle: C'est en fait un meurtre





En avril 2013 une pub pour une marque de savon a un petit retentissement médiatique. On y voit un dessinateur faire le portrait de jeunes femmes, en se basant, uniquement, sur les descriptions qu'elles donnent d'elles même. Puis, il fait la même chose avec la description qu'elles donnent d'une autre femme croisée juste avant, et qui participe aussi à "l'expérience".

Le message officiel en est que les femmes se voient moins belles que ne les voient les autres. C'est pourquoi la publicité a eu un écho. Ce message est faux.

Tout le monde déteste cette pub. On a prétendu en apprécier le positivisme parce c'est ce que la pub prétendait, mais tous, intérieurement sommes profondément dérangé par cette publicité. Elle cache quelque chose.

Peu après son retentissement, des voix ont commencé à tenter d'analyser ce sentiment diffus. Le sentiment de notre malaise devant un message profondément humaniste en surface.

Le "Scientific American" a révélé une étude qui prouve qu'en fait nous nous percevons toujours plus beau que les autres ne nous perçoivent. La publicité révèle une fausse vérité. Mais cela nous le savions déjà : C'est une pub, elle n'est pas censée dire la vérité. Il y avait autre choses de bien plus noir qui nous offense.

Le Last Psychatrist a fait une brillante analyse : La pub est une "arnaque à la confiance". Ce type d'arnaque consiste, non pas à demander la confiance du pigeon, mais à donner sa confiance au pigeon, pour en obtenir un avantage. La publicité ne vend pas spécifiquement un savon dans cette vidéo. Elle prétend que nous n'avons pas besoin des produits qu'elle vend. Que nous sommes déjà très beaux, même si nous l'ignorons. Elle nous donne sa confiance. Pour que nous achetions ses produits, car comment ne pas faire confiance à cette marque qui nous fait ainsi une faveur.

Car, comme l'explique l'article, nous sélectionner, s'adresser directement à nous est déjà une faveur qui provoque déjà l'envie de payer. Ainsi, quand l'arnaqueur de Bonneteau, vous choisit dans la foule de spectateurs, pour tenter votre chance et deviner une carte, il vous a déjà fait une faveur. Le fait d'avoir été choisit vous incite déjà à le payer. Vous perdez votre argent avec plaisir.

C'est pareil ici. Le fait que la pub s'adresse directement à nous, qui n'avons pas confiance dans notre physique, qui sommes incertain de plaire, pour nous dire que tout va bien, nous incite à aveuglement donner notre argent à cet aimable messager.



Mais ce n'est pas encore cela qui nous dérange. En fait, toute la vidéo est construite comme une horrible scène de crime.

On nous présente d'abord le dessinateur. Il fait partie des services de la police. Pourquoi prendre quelqu'un de lié au FBI quand tant de dessinateur célèbre (ou moins célèbre) pouvait réaliser ces dessins avec la même probité ? C'est pour replacer le vrai contexte de la vidéo. C'est une vidéo lié à la criminalité pour cela qu'un de ses protagonistes est présenté comme un agent du FBI.

Mais le message devient de plus en plus angoissant. Cet homme ne présente au long de la vidéo aucune émotion. Il ne sourit jamais, ou ne montre la moindre compassion en constatant la réaction des jeunes femmes.

Ces jeunes femmes, il les reçoit dans un grand appartement. Complètement vide, impersonnel, froid et stressant. Si vous deviez être invité par un inconnu, dans ce type d'appartement vous réfléchiriez à deux fois avant de vous y rendre.

Pire, la pièce immensément vide est tendue de grands draps blancs. Ces draps sont souvent utilisés par les criminels pour ne pas mettre du sang partout et nettoyer facilement. Ils sont partout dans la pièce, comme si le tueur prévoyait qu'il y aurait beaucoup de sang.

Le tueur, bien entendu, c'est cet homme sans émotion. Il oblige les jeunes femmes à regarder des portraits hideux d'elles même.

Certaine femme pleurent. Plusieurs pleurent. Il reste insensible.

Si l'histoire consciente de cette publicité est positive, l'histoire sous-jacente, tel qu'elle est filmé et mise en scène est horrible.

En fait, c'est l'histoire d'un tueur en série qui défigure ses victimes, toutes des femmes. Pourtant, Dove vend aussi des produits pour hommes. Le dessinateur aurait pu faire faire le portrait d'hommes, selon eux et selon les autres. Cela nous aurait rendu la publicité moins effrayante.

 Mais puisque c'est un psychopathe, il ne choisit que des femmes. Les psychopathes ont ces préférences : ils tuent toujours un type de victime, que des hommes ou, que des femmes, jamais les deux.

Tout au long de la vidéo. Il refuse de regarder ses victimes. On prétend que c'est pour les dessiner selon leur description. Mais à la fin, il ne les regarde toujours pas. Il ne fait que les déshumaniser, parce que, quand la vidéo s'arrête, il les tue et se débarrasse du corps en les transportant dans les grands draps blancs.

Le succès de la publicité ne tient pas à son message prétendument positif. Le succès vient de notre gout macabre : Nous avons assisté à la préparation d'un assassinat par un tueur en série. Et, ça, c'est exactement le type de vidéo que nous avons envie de partager sur les réseaux sociaux.


mercredi 8 mai 2013

L'histoire du "Black Freighter" de Watchmen sert à racheter Ozymendias




Dans la bande dessinée Watchmen d'Alan Moore, un des personnages secondaire lit une bande dessinée : L'histoire du Black Freighter.

Dans l'univers de la BD ou les super-héros existent vraiment, les gens ne lisent pas des comics de super héros. Ils lisent des comics à propos de pirates.


Cette BD de pirate à l'intérieur la BD est très longue. Elle est surprenante parce qu'elle n'a aucun rapport, même lointain, avec l'histoire principale. Elle ne souligne aucuns des thèmes principaux. Dans la version cinéma de la BD, l'histoire du Black Freighter a disparue. Bien qu'elle ne participe pas à l'histoire les fans ont été déçus de ne pas voir cette BD fictive. Parce que, même si elle ne précise rien sur l'histoire, notre cerveau enregistre ce que cette histoire de pirate raconte. Et c'est primordial dans l'expérience que Watchmen nous procure.


Dans notre monde, les histoires de super-héros sont une sorte de miroir des angoisses de la société. Alan Moore le sait. Il en joue.

Ce que révèle notre gout pour les histoires de super-héros, c'est que nous sommes dans un monde sans justice. C'est pour cela que nous apprécions que des surhommes soient des justiciers. Un monde ou l'individualité est nié au profit du collectif. C'est pour cela que nous apprécions des histoires ou des individus sortent de l'ordinaire. Nous nous sentons incapable d'agir sur notre entourage, c'est pour cela que nous apprécions des êtres avec des superpouvoirs.

Ce sont des lieux communs. Ce sont des idées que l'on peut facilement avoir, disposant d'une littérature abondante analysant notre rapport aux super-héros. Moore le sait. Dans l'univers de Watchmen. Les super-héros sont remplacés par des pirates.


Parce qu'un monde ou les histoires de Pirates sont à la mode est complètement différent :

C'est un monde ou la justice est tellement parfaite, que l'on a envie de s'évader en suivant des histoires de hors la loi sans moral. Ce monde a maitrisé les forces néfastes de la nature, au point que ses habitants s'extasient sur des histoires de tempêtes meurtrières et de requins tueurs. Contrairement aux comics de super-héros, les dérangements familiaux ne sont pas des histoires secondaires dans ces comics de pirate. Au contraire, la vie familiale est tellement riche et valorisante, que jamais elle n'est représentée dans Black Freighter. Elle sert juste de but ultime : Le héros veut juste sauver sa famille dont il sait que le bateau pirate va détruire la ville.


Un monde ou Black Freighter est une BD à la mode est un monde bien plus parfait que ne le sous-entend l'histoire normale de la BD. Ce n'est pas un monde au bord de l'explosion nucléaire. Ce n'est pas un monde plein de danger et de criminels. Au contraire, un monde ou l'on se passionne pour des histoires de pirates ultra violentes est un monde paisible, en harmonie, plein de justice et de familles épanouies, ou la nature n'est jamais menaçante.


Et c'est ce monde, plus parfait que celui que décrit le reste de la BD, qu'Ozymendias a tenter de sauver. Sans la BD de pirates, les motivations d'Ozymendias sont grotesques : Sauver un monde sombre et décadent n'en fait pas un méchant crédible. Mais si le monde est quasiment parfait, alors Ozymendias est moins caricaturale qu'il ne semble. Surtout, Rorschach est encore plus la magnifique crapule que l'on adore : Il détruit, même un monde idyllique, juste pour respecter un principe de justice sans compromis.





mercredi 17 avril 2013

Voynich n'a pas écrit le manuscrit de Voynich






Ajouter une nouvelle interprétation au mythe est nécessaire, non seulement, parce qu'aucune n'est actuellement satisfaisante, mais aussi parce qu'il est besoin d'enrichir la catégorie "Art" de ce blog.

Les "solutions" quant au contenu du manuscrit sont déjà apparues dans de nombreux livres de fiction. Sans doute, les Templiers, Shakespeare, les Francs-maçons, les Aliens et Da Vinci ont été pressentis comme auteurs du document dans quelque obscure complot.

On ne prétendra pas, ici, révéler le contenu du document. Mais en donnant cette théorie sur celui qui a écrit le manuscrit, la nature du contenu en sera facile à déduire.

Plutôt que de répéter les nombreuses théories et interprétations sur le manuscrit de Voynich, ou même les circonstances, le plus souvent extrapolées de sa création, nous allons énumérer les faits prouvés à propos du document.

On remarquera que ces faits vérifié sont parfois plus intriguant que le sensationnalisme dont on a entouré le document en l'attribuant à Roger Bacon ou John Dee.

  • Le document apparait autour de 1930

Un certain Voynich (qui lui a donné son nom), spécialiste d'œuvres anciennes prétend l'avoir acheté. 
  • Le document est le seul écrit d'avant la seconde guerre dont le code n'a jamais été percé

Après guerre, l'équipe de cryptologie, qui avait percé le code Allemand Enigma, grâce, en partie, au début de la technologie informatique, a continué à travailler pour décoder les documents mystérieux existant. Ils ont décodé tout ce qui était suffisamment long pour l'être. Sauf les 100 pages du manuscrit de Voynich
  • L'alphabet unique du manuscrit suit les règles statistiques d'un vrai langage.

Si le texte avait été complètement aléatoire il ne pourrait avoir les propriétés statistiques d'un vrai langage. Ce n'est pas n'importe quoi, il y a une logique dans le texte.
  • Le manuscrit est écrit sur du vélin (peau d'animal) dont la datation au carbone 14 confirme qu'il date du XV ème siècle.

C'est peut être l'élément le plus important. Le vélin est ancien, mais il est impossible de dater l'encre, et donc la date à laquelle le manuscrit a vraiment été écrit.

Il se trouve qu'il est relativement facile de se procurer du Vélin ancien. Même aujourd'hui 'hui, vous pouvez acheter du vélin datant du XV ou avant.

La personne qui peut le plus facilement acheter du vélin est sans doute un spécialiste des livres anciens. C'est en suivant ce raisonnement que l'ensemble du consensus actuel tend à faire de Voynich l'auteur du manuscrit.

Il aurait eu à sa disposition le vélin. Il pouvait espérer vendre un document ayant prétendument appartenu au célèbre Roger Bacon à n'importe quel prix.

Plusieurs choses font douter que Voynich ait forgé le document. D'abord il n'a jamais particulièrement cherché à le vendre. Certes il a fait certaines déclarations contradictoire quand à comment il s'était procuré le document. Il a tenté de faire monter la sauce et montrant des lettres anciennes qui parlent d'un document mystérieux attribué à Bacon.

Mais considérons le temps nécessaire pour faire un tel faux : 130 pages d'un alphabet inventé respectant les règles du langage ne s'improvisent pas. Ni les nombreuses illustrations détaillées présentent presque à chaque page.

Certains spécialistes ont inventé des systèmes (a base de roue percée) pour réécrire et prouver qu'il est possible de façon simple de faire un document ayant les propriétés du manuscrit. Ce qui est sûr c'est que même si c'est possible, c'est un travail laborieux. Et il faut encore ajouter les dessins.

 Pour selon qu'il a utilisé un vélin d'une certaine valeur, et qu'il a passé un temps non négligeable pour faire son faux, Voynich n'a pas particulièrement tenté de rentabiliser son investissement. Voynich n'avait sans doute ni le temps, ni les connaissances (des propriétés du langage) pour faire un faux aussi abouti.

Pourtant le fait que le code ne soit pas percé indique sans doute que le code n'existe pas. Quelqu'un a donc écrit quelque chose sans sens. Peut être au XV ème, plus légitimement (vu que le manuscrit n'apparait pas avant) autour de 1930.

Cette personne possède assez d'énergie pour faire un document précis, bien que dénué du moindre sens. Cette personne n'a pas d'objectif pécuniaire. Ni ne vise à la célébrité. Vu que ni l'argent, ni la célébrité n'ont particulièrement sourit à Voynich de son vivant, ni à qui que ce soit avant.

Rain Man. Une personne avec un syndrome d'Asperger, ou quelqu'un avec une forme d'autisme est le seule type de personne qui correspond à tout ces éléments.

On peut imaginer que Voynich à un neveu, ou un ami proche de sa famille atteint d'autisme. Soit qu'il lui laisse un vélin à disposition, soit que cette personne commence par lassitude à écrire dessus, Voynich bientôt se retrouve avec un document étrange. Il l'ignore mais le "code" du document a toutes les propriétés du langage parce que son auteur imite l'écriture qu'il voit autour de lui. Il sait que l'écriture a certaines propriétés. Il ne sait pas écrire, mais il sait imiter ces propriétés. Il aime dessiner. Il aime écrire en de jolies cursives pour s'occuper. 

En quelques semaines il fournit à Voynich un document ayant toutes les propriétés d'un manuel alchimique. Peut être s'est il inspiré des livres antiques qu'il a observé dans la boutique de son oncle/parrain Voynich.

L'avantage de cette théorie, c'est qu'elle est relativement facile à vérifier : Voynich avait-il parmi ses amis ou proches quelqu'un atteint du syndrome d'Asperger ? Si oui le mystère du manuscrit est résolu.



mercredi 6 mars 2013

La Joconde, le sourire de Nosferatu





La Joconde n'a ni cils, ni sourcils. On a prétendu que c'était la mode féminine de l'époque. On n'en est plus tout à fait sûr. Peut être les sourcils et les cils ont été enlevé plus tard par un disciple de DaVinci. Peut être il n'y en a jamais eu. Peut être c'était la mode de n'en pas porter ; ou peut être pas.
Cet absence donne un aspect étrange au tableau, et participe à la fascination qu'il provoque. On n'est pas tout à fait sûr de voir un visage humain.

Mais ce qui participe le plus à la fascination de la Joconde c'est son sourire : On ne le reconnait que par vision périphérique. Dés qu'on le fixe il disparait.
On attribue cet effet au travail d'ombre fait par DaVinci. On sait aussi que la forme de la bouche porte des traces étranges. Les cicatrices de marque de dents sur la lèvre inférieure.
Le modèle, sans doute, et c'était fréquent à l'époque, avait perdu des dents de devant à cause d'une hygiène dentaire déplorable, nous dit Wikipedia.

Ou bien, tout aussi légitimement. Le modèle avait des canines de 3cm de long, si longue qu'elles sortaient de la bouche.
C'est en effaçant ces canines démesurées, comme ont été peut être effacé les cils et les sourcils, que le sourire devient énigmatique : Quelque chose devrait être là. 
Tout sur le contour de la bouche indique la présence de ces canines allongées, on en distingue l'ombre. On ne les voit pas.

Ce que DaVinci a peint c'est un vampire. Peut être le premier vampire de l'art pictural occidental. Il ne me revient pas de déterminer si c'était un véritable vampire, ou un modèle ayant véritablement des canines trop longue pour de vagues raison médicale. Ce qui est sûr c'est que DaVinci ne voulait pas que l'on voit ce tableau. Il le conserve 15 ans sur lui.
Il le retravaille en permanence. Pourtant bizarrement il laisse des erreurs flagrantes : La main gauche dont tout les doigts font la même taille ; Erreur étrange du maître de l'anatomie. Cette main ressemble à une griffe.
Il laisse une ligne d'horizon plus haute à gauche de la tête qu'à droite. Lui si versé dans l'art de la perspective.
Il place un pont à droite, symbole du temps et de l'éternité. Il place un chemin sinueux à gauche, symbole du danger et de la mort.
Il ne vend jamais ce tableau plein de symboles lié au bizarre, à l'anormal et au vampirisme.

Avançons jusqu'à l'âge moderne. Des qu'il redevient célèbre ce tableau est nommé "Joconde" du nom du modèle présumée "Lisa Del Giocondo". Aucune preuve, à ce jour ne permet authentifié définitivement cette Giocondo comme modèle. On a au moins trois autres candidats. Pourtant on s'empresse de donner ce nom au tableau : "La Joconde"
Il a déjà un nom ce tableau, et un fort joli :"Mona Lisa". Pourquoi veut-on absolument le changer pour donner un nom d'un personnage qui n'a peut être rien à voir ? Pourquoi tant d'effort pour donner un nom erroné ?
Parce que tout le monde connait désormais la passion de DaVinci pour les miroirs, les codes, et l'écriture de la main gauche. DaVinci écrivait ce qu'il voulait garder secret à l'envers. A l'époque le stratagème était novateur.

Il garde un tableau, pendant 15 ans, jusqu'à sa mort, en permanence avec lui. Ce tableau il l'a appelé "Mona LISA". Ce qui veut dire, si on lit à l'envers : "Mon ASIL".

A l'Asile, DaVinci était sûr d'y aller si quelqu'un apprenait qu'il avait représenté sur son tableau un vampire buveur de sang.