mercredi 6 mars 2013

La Joconde, le sourire de Nosferatu





La Joconde n'a ni cils, ni sourcils. On a prétendu que c'était la mode féminine de l'époque. On n'en est plus tout à fait sûr. Peut être les sourcils et les cils ont été enlevé plus tard par un disciple de DaVinci. Peut être il n'y en a jamais eu. Peut être c'était la mode de n'en pas porter ; ou peut être pas.
Cet absence donne un aspect étrange au tableau, et participe à la fascination qu'il provoque. On n'est pas tout à fait sûr de voir un visage humain.

Mais ce qui participe le plus à la fascination de la Joconde c'est son sourire : On ne le reconnait que par vision périphérique. Dés qu'on le fixe il disparait.
On attribue cet effet au travail d'ombre fait par DaVinci. On sait aussi que la forme de la bouche porte des traces étranges. Les cicatrices de marque de dents sur la lèvre inférieure.
Le modèle, sans doute, et c'était fréquent à l'époque, avait perdu des dents de devant à cause d'une hygiène dentaire déplorable, nous dit Wikipedia.

Ou bien, tout aussi légitimement. Le modèle avait des canines de 3cm de long, si longue qu'elles sortaient de la bouche.
C'est en effaçant ces canines démesurées, comme ont été peut être effacé les cils et les sourcils, que le sourire devient énigmatique : Quelque chose devrait être là. 
Tout sur le contour de la bouche indique la présence de ces canines allongées, on en distingue l'ombre. On ne les voit pas.

Ce que DaVinci a peint c'est un vampire. Peut être le premier vampire de l'art pictural occidental. Il ne me revient pas de déterminer si c'était un véritable vampire, ou un modèle ayant véritablement des canines trop longue pour de vagues raison médicale. Ce qui est sûr c'est que DaVinci ne voulait pas que l'on voit ce tableau. Il le conserve 15 ans sur lui.
Il le retravaille en permanence. Pourtant bizarrement il laisse des erreurs flagrantes : La main gauche dont tout les doigts font la même taille ; Erreur étrange du maître de l'anatomie. Cette main ressemble à une griffe.
Il laisse une ligne d'horizon plus haute à gauche de la tête qu'à droite. Lui si versé dans l'art de la perspective.
Il place un pont à droite, symbole du temps et de l'éternité. Il place un chemin sinueux à gauche, symbole du danger et de la mort.
Il ne vend jamais ce tableau plein de symboles lié au bizarre, à l'anormal et au vampirisme.

Avançons jusqu'à l'âge moderne. Des qu'il redevient célèbre ce tableau est nommé "Joconde" du nom du modèle présumée "Lisa Del Giocondo". Aucune preuve, à ce jour ne permet authentifié définitivement cette Giocondo comme modèle. On a au moins trois autres candidats. Pourtant on s'empresse de donner ce nom au tableau : "La Joconde"
Il a déjà un nom ce tableau, et un fort joli :"Mona Lisa". Pourquoi veut-on absolument le changer pour donner un nom d'un personnage qui n'a peut être rien à voir ? Pourquoi tant d'effort pour donner un nom erroné ?
Parce que tout le monde connait désormais la passion de DaVinci pour les miroirs, les codes, et l'écriture de la main gauche. DaVinci écrivait ce qu'il voulait garder secret à l'envers. A l'époque le stratagème était novateur.

Il garde un tableau, pendant 15 ans, jusqu'à sa mort, en permanence avec lui. Ce tableau il l'a appelé "Mona LISA". Ce qui veut dire, si on lit à l'envers : "Mon ASIL".

A l'Asile, DaVinci était sûr d'y aller si quelqu'un apprenait qu'il avait représenté sur son tableau un vampire buveur de sang.



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